Présentation
L’association française des Danses de la Paix Universelle existe depuis 2006.
La raison d’être de l’association est double : œuvrer ensemble au rayonnement des Danses de la Paix Universelle dans un esprit de partage, de reliance et d’unité, contribuer à l’épanouissement du réseau français en lien avec le mouvement international. Le but de l’association française des Danses de la Paix Universelle est notamment de relier les associations locales pratiquant ces danses à travers le site Danses de la Paix Universelle en France. L’association se réfère à l’International Network for the Dances of Universal Peace.
L’association est composée des guides certifiés des danses de la Paix Universelle et des guides en formation accompagnés par un formateur référent (mentor), de musiciens et de danseurs. Tous les membres adhérents participent aux activités de l’association et contribuent à la réalisation de ses objectifs. Ils souscrivent à la cotisation annuelle de l’association française des Danses de la Paix Universelle et à celle de l’International Network for the Dances of Universal Peace.
Depuis février 2018 l’association est dirigée par un collège qui fonctionne en gouvernance partagée.
L’organisation se compose de plusieurs cercles eux-mêmes structurés en différents rôles, tous autonomes dans leur champ d’action :
– un collège dont le rôle est d’administrer l’association
– des commissions avec des rôles spécifiques (gouvernance, communication, organisation du camp d’été, vie associative, finances, traduction)
Les rôles de 1er lien assurent la coordination entre le collège et sa commission et veillent à la réalisation de ses missions.
Dans chaque cercle, les décisions sont prises en gestion par consentement. Chaque proposition est discutée et adoptée lorsque il n’y a plus d’objection pour l’invalider.
Les réunions sont animées par un facilitateur et un secrétaire. Ces rôles offrent un cadre commun de bienveillance et de sécurité pour faciliter l’expression authentique de chaque participant. Ces réunions se tiennent le plus souvent à distance au moyen d’outils numériques (conférence par téléphone, documents partagés en ligne…) mais aussi de visu dès que c’est possible (pour les commissions notamment et lors des rencontres associatives).